Auteur: Patrick Isabelle
Éditions: Les malins
Année de sortie: 2018
Nombre de pages: 375
Ma note: 4.8/5
Risque de spoiler: ne pas lire ce résumé, ni mon avis si vous n'avez pas lu les tomes précédents.
L’été
a été tranquille dans la petite ville de St-Hector. Si William Walker a
enfin l’impression que sa vie redevient normale après les événements du
printemps, quelque chose cloche toujours… quelqu’un ou quelque chose
l’épie. Il en est persuadé.
Lorsque
le Collège Anna Caritas ouvre ses portes pour la rentrée, William n’a
plus le choix : il devra revoir Marianne Roberts. Mais il y a pire.
L’automne apporte toujours son lot de nouveaux élèves et de problèmes…
Et cette année, c’est le mal qui s’installe à l’école et qui semble se
propager rapidement à travers la ville.
Mon avis:
Je suis sans mots. Je viens tout juste de terminer ma lecture du tome deuxième tome d’Anna Caritas et je ne sais pas quoi dire.
Jamais
je n’aurais pensé que l’histoire prendrait cette tournure, je suis
autant fasciné qu’estomaqué, ma lecture du premier tome ne m’a jamais
donné l’impression que ça pourrait se continuer vers ce qui se passe
dans le second tome.
C’est
difficile de faire cette chronique sans spoiler l’histoire, mais je
vais tout de même essayer sans trop dire d’information.
Je
dois avouer que ce tome m’a réservé des frissons vers la fin (bon,
j’avoue que ce n’était pas judicieux de lire les deniers chapitres juste
avant d’aller dormir 🙊), pendant ma lecture j’avais du mal à croire ce
qui se passait, c’était tellement dingue que je me disais que ça, ce
pouvait juste pas.
Cette
fois-ci, j’ai eu l’impression que l’histoire était encore plus sombre
que le premier tome, j’irais même jusqu’à dire un peu plus macabre pour
certain événement!
J’ai
très hâte de lire la suite, surtout pour voir quel chemin va prendre
l’auteur pour la suite. Surtout que la fin de « Les damnés » est assez
intense. Comme j’ai dit au début de ma chronique je suis toujours aussi
sans mots, j’essaie encore de comprendre et d’analyser tout ce qui se
passe lors des cent dernières pages, ahah.
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